L'amour de Theo Baloyi pour les baskets de luxe et son désir de créer des emplois l'ont amené à lancer Bathu dans le coffre de sa voiture. Bathu, l'argot local pour désigner les chaussures, est entré sur un marché concurrentiel en Afrique du Sud, où l'on trouve des tendances, des sous-cultures et des tribus de style uniques qui font des styles de baskets moins évidents des produits cultes. Pourtant, Theo insiste sur le fait que son cerveau de consultant a poussé son cerveau d'entrepreneur. Avec 35 magasins dans tout le pays et 400 employés, Theo réalise sa passion sur le marché sud-africain des baskets, qui représente 219 millions de dollars. Bathu possède 95 % de la chaîne de valeur, de la conception à la vente au détail en passant par la production.